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Charlene de Monaco absente des Jeux olympiques, Albert annonce une mauvaise nouvelle « elle est incapable de…

Le prince Albert de Monaco et son épouse Charlene ne ratent jamais une occasion d’assister à une olympiade. Logiquement, ils sont venus à Paris soutenir l’équipe monégasque. Mais pour ces anciens champions qui ont tous deux déjà participé à des JO en tant qu’athlètes, cet événement est particulièrement symbolique puisqu’il a joué un rôle primordial dans leur histoire d’amour…
C’est une histoire qui se confond avec celle du sport et des jeux. Il fait froid, très froid ce 10 février 2006 dans l’ancien Stadio Comunale de Turin devenu pour l’occasion Stade Olympique. Ce jour-là, s’ouvrent dans la cité transalpine les 20e Jeux olympiques d’hiver. Durant les trois heures de la cérémonie d’ouverture, les 35 000 spectateurs vont s’enflammer au passage des délégations, s’émerveiller devant la beauté d’Eva Herzigova, magnifique incarnation de la Venus de Botticelli ou entonner avec Peter Gabriel le légendaire hymne à la paix de John Lennon : Imagine.
Parmi eux, un homme et une femme semblent particulièrement joyeux et pas toujours très concentrés sur la féérie qui se déroule devant leur yeux. Il a 47 ans, elle en a 28. Lui a le front qui commence à se dégarnir quand elle, arbore une longue et belle chevelure blonde. Le prince Albert de Monaco et la nageuse Charlene Wittstock sont venus applaudir la modeste délégation monégasque constituée par quatre sportifs seulement, qui vont concourir à ces jeux. Mais entre deux salves d’encouragement, ils laissent libre cours à un amour qu’ils entendent désormais montrer au monde. Ils ne se cachent plus. Charlène pose tendrement son épaule sur celui qui est devenu Prince de Monaco l’année précédent, en 2005, à la mort de son père, Rainier.
Loin des convenances qui siéent à son rang, le souverain monégasque, lui, s’amuse comme un enfant, comme lorsqu’il prend cette lampe de poche et l’allume sous son visage, pour faire rire sa princesse, qui la lui prend des mains et fait de même. “C’était un moment excitant pour moi. Déjà, parce que je n’avais jamais vu de JO d’hiver auparavant… et très peu de neige. De le partager avec mon nouveau petit ami, c’était d’autant plus génial.” se remémorait il y a quelques jours Charlène dans les colonnes de Paris Match.
Ce jour-là, à Turin, les jeux de l’amour se confondent avec les Jeux olympiques. Les photos feront le tour du monde et vaudront officialisation de leur idylle. Les Monégasques respirent. Albert va enfin pouvoir se marier et donner un héritier au trône !

Albert invite la nageuse à dîner… ils finissent en boîte de nuit

Monaco, c’est justement là que tout avait commencé six ans plus tôt. Au début de l’été 2000, la Principauté accueille comme chaque année depuis sa création par Rainier en 1983, son Meeting international de natation. Les meilleurs nageurs mondiaux s’y affrontent. Cette année-là, une championne sud-africaine , dont certains proches sont morts noyés, survole les bassins : Charlene Wittstock. L’année précédente, elle a brillé lors des jeux africains de Johannesburg, dans son pays. Mais cette fois, c’est l’Europe qui va pouvoir admirer ses talents. Et déjà, un jeune prince du vieux continent n’a d’yeux que pour elle.
Le sport a toujours eu une large place dans la famille monégasque. Jack Kelly, le père de l’actrice Grace, le grand-père d’Albert avait obtenu une médaille en aviron aux JO de Paris en 1924. Rainier pratiquait lui aussi, ainsi qu’Albert le rappelait dans Paris Match il y a quelques jours : “Mon père a joué au football, au rugby, et a même pratiqué la boxe dans sa jeunesse“. Quant à Albert, il a fait de l’athlétisme, du handball, du judo, du tennis, de l’aviron, de la voile, du ski, du squash, de l’escrime, du football… “J’ai exercé pas moins de dix-sept sports, à un niveau compétitif“, résumait-il dans ce même entretien. Parmi eux, bien sûr, le bobsleigh, discipline dans laquelle il a excellé, lui qui a participé à cinq olympiades entre 1988 et 2002 dans l’équipe nationale monégasque !
Autant dire que c’est un amateur éclairé qui, en tant que président d’honneur de la compétition, remet un bouquet de fleur et serre la main de Charlene qui décroche en cette année 2000 sur le r
Rocher la médaille d’or du 200 mètres dos. Quelques mois plus tard, le Prince et la nageuse sont ensemble à Sidney. Ils ne s’y croisent pas. Albert porte la flamme, mais il ne va pas tarder à déclarer la sienne
L’année suivante, en 2001, Charlene est de retour à Monaco pour le fameux meeting annuel de natation. Cette fois, Albert ne va pas attendre une hypothétique victoire de la jolie jeune femme. Il va prendre les devants. Alors qu’elle déjeune avec d’autres athlètes dans un établissement monégasque, le prince qui a toujours rêvé de fonder une famille, s’approche d’elle et va la saluer. “Bonjour, je m’appelle Albert“, lui dit-il en substance en lui rappelant qu’ils se sont croisés ici même l’an passé. Puis, poussant sa chance, il l’invite à dîner ! En pleine compétition, les champions ne sont pas maîtres de leurs agendas, et encore moins de leur nutrition. La nageuse, un peu désemparée, lui répond : “Allez demander à mon entraîneur.” Albert s’exécute. Difficile de refuser cette faveur au prince héritier, hôte de la compétition. Accordé.
Sauf que dîner dans un restaurant monégasque avec le fils du Prince Rainier ne s’improvise pas. Et ce n’était pas dans les plans de la sportive. Pas plus qu’une tenue adéquate dans sa valise où l’on ne trouve que des maillots de bain et des joggings. Des heures durant, l’athlète va sillonner les rues de la cité monégasque afin de trouver une robe digne d’un dîner princier… et de la Rolls-Royce avec laquelle Albert vient la chercher. Ils achèveront leur soirée au petit matin, avec un café pris sur une terrasse du palais après être allé danser en boîte de nuit. “La seule fois où j’ai senti mes genoux trembler, c’est avec lui, expliquait-elle après coup à Sports Illustrated. J’aime les hommes européens parce qu’ils savent s’y prendre avec les femmes. Le prince Albert a les manières, il a du charme. Il est juste… fantastique.” Cette année-là, Charlène ne gagnera pas de médaille, mais elle obtiendra plus : le coeur d’Albert qui va devenir son mari…

Charlene : “C’est vrai que j’ai eu quelques ennuis ce soir-là”

Interrogé par Paris Match après vingt ans de cette belle histoire, ce dernier n’a d’ailleurs toujours pas oublié cette merveilleuse soirée. “J’ai trouvé qu’elle était une excellente nageuse, évoque-t-il_, et puis qu’elle était une personne aimable, souriante et abordable. Nous avons passé un excellent moment. Je ne sais pas si je dois le dire, mais ce soir-là je lui ai causé quelques ennuis car je ne l’ai pas raccompagnée à temps…_” Charlene, présente durant cet entretien, poursuit en riant : “Oui, c’est vrai que j’ai eu quelques ennuis ce soir-là, mais on ne va pas tout raconter…
Après ce premier vrai rendez-vous, la sportive et le prince passeront de longues années sans se voir. Mais en 2005, un deuil va les réunir. À la mort de Rainier, Charlene aura la délicatesse d’envoyer un mot à Albert. Il en sera extrêmement ému et l’invitera de nouveau à dîner. Un an plus tard viendra la fameuse officialisation à Turin, puis leur mariage, en 2011, marqué par les énigmatiques larmes de la princesse. Depuis lors, le sport et les jeux n’ont jamais cessé de faire partie de leur vie.
Depuis quarante ans, le prince est membre du CIO, quant à Charlène, elle ne manque jamais une occasion de se remettre à l’eau, ni de venir soutenir les athlètes aux côtés de son homme. Comme ces derniers jours, à Paris, où toute la famille était réunie. Et la relève est en train d’être sérieusement préparée avec les jumeaux.Jacques et Gabriela, dissipés à l’école, ont été eux aussi initiés au sport dès leur plus jeune âge. “Nous les encourageons à en faire, oui, même s’il est primordial qu’ils essaient plusieurs disciplines avant de se concentrer sur une en particulier. Ils nagent, font de la gymnastique. Ils ont aussi été initiés à l’escrime, au tennis et au volley-ball. Jacques fait du taekwondo. Les valeurs adoptées dans le sport sont fondamentales.” Comme pour en attester, le prince à qui notre confrère demande à quel sport pourrait s’apparenter l’histoire d’amour qu’il vit avec Charlene lui répond pour conclure : “à une course de relais

 

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